Endoctrinement et desinformation : 5 octobre

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"Qui veut noyer son chien, l'accuse de la rage..." Avoir ou pas de la sympathie pour le parti de l'Aube dorée n'est pas la question, avoir eu de la sympathie ou pas pour le "communisme" aux Etats-Unis sous le Maccarthysme ne l'est pas non plus. Ce qui est la question, c'est que la liberté d'expression politique est complète ou n'est pas et que seuls les crimes ne pouvant être promus, criminaliser une opinion est une restriction de la liberté d'opinion et d'expression. Mais au-delà encore, la raison du plus fort prévalant toujours, que le pouvoir dominant, se travestissant de "Liberté" et de "Progrès", quand il ne peut user de son pouvoir législatif après avoir manipulé et usé des partis et le peuple, s'emploie à de si basses manœuvres pour normaliser sa main-mise en donnant dans une telle esbroufe démontre encore une fois le cynisme le plus complet allié au plus mauvais goût du Spectacle... Ceci démontre encore une fois que l'on peut faire un totalitarisme à partir de n'importe qu'elle forme politique et à partir de n'importe quels principes, même au nom de la Liberté.

Ceci appelle tout de même une réflexion à propos des mouvements qui de gré deviennent les marionnettes du système électoraliste : pour quelle utilité le font-ils? En partageant le goût du pouvoir et le cynisme de leurs maîtres? Ou comment être un anti-démocrate élu démocratiquement, un anti-parlementariste endossant l'habit de député, un anti-républicain faisant parti des rouages officiels de la République...

Source ( y remarquer les deux perles suivantes : "La justice aura-t-elle assez de preuves pour décapiter le mouvement ? Les néonazis ne risquent-ils pas de sortir de la bataille judiciaire innocents ou de la prison en martyrs ?")

 

Et avec un court addendum au dernier Endoctrinement et désinformation, une autre victoire de la déraison du libéralisme des moeurs, après l'euthanasie pour les transgenres psychologiquement instables (si ce n'est ici une redondance...), voilà la génèse de cette instabilité entérinée par la justice en Argentine : un garçonnet de 6 ans change d'identité sexuelle, Manuel devient officiellement Lulu.

Entre autres, remarquons que donc un enfant de 6 ans est donc considéré comme ayant suffisament de maturité psychologique pour déterminer son "genre", tout simplement pour nier son sexe, donc qu'il sera bientôt considéré que les enfants de cet âge là sont aussi suffisament matures pour choisir leur sexualité et leurs partenaires sexuels... Il n'y a pas de limite à ce "progrès" là.

Encore une fois - car il ne suffit pas de répéter - nous somme dans la période où tout bascule et où le pouvoir libéral a décidé d'accélérer son plan de domination, et où les faibles sont détruits au profit d'une idéologie folle, qui se plaît à institutionnaliser sur le dos de la détresse psychologique et de l'innocence de l'immaturité ses irrationalités les plus délirantes.

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